Sauf si les terrasses sont glissantes, je jette un œil à l’état des plantes tous les jours. Cela permet de déceler rapidement si quelque chose ne va pas et d’y remédier sans trop de difficultés, en tout cas le plus souvent.
Besoins en eau : nous avons installé un système d’arrosage automatique, mais nous ne le faisons fonctionner que lorsque nous sommes absents. Il pleut souvent à Bruxelles, il est rarement nécessaire d’arroser toutes les plantes, tous les jours. S’il a plu, je vérifie le niveau du pluviomètre. S’il est au moins à moitié plein, je sais que très peu de plantes auront besoin d’un complément d’eau. Je regarde ensuite l’état du terreau et si certaines feuilles ont tendance à piquer du nez comme c’est le cas du figuier ou des hortensias s’il a fait bien chaud.
Suppression des fleurs fanées au fur et à mesure : cela permet d’avoir de plus belles floraisons.
Détection de maladies : malgré l’achat d’un livre très pointu sur la question ‘Mais qu’est-ce qu’elle a ma plante ?‘, je n’arrive pas toujours à identifier la raison pour laquelle une plante ne va pas bien. En revanche, je me suis rendu compte que la suppression immédiate de feuilles tâchées permettait souvent de stopper net la propagation de certaines maladies. Je l’ai testé notamment sur les rosiers et les clématites. Je nettoie aussi le pied des plantes afin qu’il soit net et éviter ainsi le risque de pourriture.
Repérage de nuisibles : les pucerons sont faciles à trouver, ils aiment particulièrement les pousses tendres. Quand ils sont encore peu nombreux, on en vient vite à bout en les écrasant entre les doigts.Il est aussi facile de repérer la présence de limaces qui laissent des traces collantes sur leur passage. Quand je les trouve, je leur fais prendre un bain savonneux après les avoir saisis avec une pince. Si je dois m’absenter et que le temps est humide, je répands du phosphate de fer (Ferramol). Je fais aussi la chasse aux othiorhynques, mais comme les adultes ne sortent que la nuit et que les dégâts étaient de plus en plus importants, j’ai fini par traiter les larves avec des nématodes.
hihihi, bien vrai, comme au jardin,
pas un jour tu ne louperas 😉
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